Je vais commencer avec cette question : Connaissez-vous Gears of War ?
Si oui, dans ce cas, j’espère que cet article vous rappellera de bons souvenirs.
Par contre, si vous me répondez que vous ne connaissez pas Gears of War premier du nom, attention ce serait un sacrilège pour moi. Car oui, Gears of War est mon jeu fétiche.
Mais pas de panique, je vais vous faire un petit récapitulatif.
Faisons un petit retour en arrière. Gears of War est sorti le 17 novembre 2006 sur la Xbox 360 puis un an plus tard sur PC, le 9 novembre 2007 pour être exact. Voilà donc bientôt seize ans que ce jeu a vu le jour (au moment où j’écris ces lignes).
Un TPS unique en son genre
Il s’agit d’un jeu de tir à la troisième personne. Mais attention, il ne s’agit pas de foncer comme un bourrin (enfin si ok un peu, mais pas seulement). Gears of War mise pas mal sur son côté tactique. Et ce qui m’a vraiment fait aimer ce jeu, c’est le côté innovant des déplacements. On peut s’adosser à un mur pour se protéger, ou tirer, ou encore faire une roulade. Je n’ai quasiment jamais retrouvé un gameplay similaire dans d’autres jeux.
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Deux camps brutaux
Lorsque l’on joue la campagne de Gears of War, nous allons incarner Marcus, un ancien combattant qui a eu quelques ennuis avec la justice et s’est donc retrouvé en cellule. Oui mais voilà, l’heure est grave et l’on a besoin de ce soldat d’élite. Nous sommes donc du côté des CGU (les humains) mais nous allons voir que Marcus n’est pas forcément apprécié par tous ni le bienvenue au sein de l’équipe.
De l’autre côté se trouvent les Locustes. Ils étaient là depuis fort longtemps mais vivaient jusqu’à présent sous terre. Et bien qu’ils soient qualifiés d’espèce barbare et belliqueuse, c’est bien les humains qui ont déclenché cette guerre. En effet, ces derniers ont tué sans le vouloir des milliers de Locustes.
Les armes dans Gears of War
Dans Gears of War, nous pouvons porter jusqu’à quatre armes : deux armes normales, une arme de poing et un emplacement pour les grenades ou fumigènes.
Voici quelques armes que l’on pouvait trouver si l’on jouait chez les CGU (les humains) :
La tourelle automatique, différentes sortes de grenades (mes favorites étant celles qui se collent), le lance-grenades, le fusil d’assaut, le sniper, l’arbalète (encore un joli joujou qui explose), le couteau de combat, le rayon de l’aube (utilisable uniquement en extérieur grâce aux satellites), la lanzor et sa tronçonneuse intégrée et, mon arme préférée, le fusil à pompe.
Les locustes, eux, disposent d’armes assez similaires, simplement nous allons affronter des locustes un peu spéciaux.
Certains par exemple seront équipés de couteaux de boucher. Nous pouvons nous retrouver face à des boomers, équipés de lance-roquettes, affronter des Berserker, des créatures énormes que l’on peut vaincre uniquement avec le rayon de l’aube… elles sont aveugles mais pas sourdes, alors soyez vigilants.
Le bestiaire
Comme évoqué précédemment, nous affrontons des Locustes. Mais il en existe de différentes “sortes” :
- Les rebuts : des créatures entre le chien et le singe avec la capacité de grimper aux murs.
- Les grenadiers lance-flammes.
- Les boomers.
- Les berserker.
- Les gardes Theron.
- Les drones : ce sont les soldats d’infanterie.
- Les Essaimeurs.
- Les Reavers.
Et d’autres encore. Je vous cite uniquement ceux qui apparaissent dans Gears of War 1.
Le multijoueurs
En multijoueurs, nous serons des équipes de quatre contre quatre. Vous devrez choisir votre camp, CGU ou Locuste, puis le personnage que vous souhaitez incarner. Pour ma part, dans Gears of War, j’ai toujours préféré jouer Carmin chez les CGU ou le général RAAM du côté des locustes (bien que ce ne soit pas très judicieux pour ce dernier car c’est une cible facile, il est trop imposant et les flèches et autres se collent à sa cape). Les cartes sont plutôt petites, ce qui donne lieu à des parties assez rapides.
La campagne de Gears of War
Dans ce premier opus de Gears of War, nous n’allons pas forcément apprendre grand chose de l’histoire. Comme évoqué précédemment, nous incarnons Marcus, libéré de sa cellule par la force des choses. Nous sommes donc jetés directement au cœur du conflit, avec une équipe qui nous apprécie moyennement. Et pourtant, certains liens commencent à se créer, notamment avec Dom. En ce qui concerne les Locustes, nous affrontons le général RAAM. Mais dans ce premier opus, la reine Myrrah sera seulement évoquée, il faudra attendre un peu avant d’avoir la chance de la rencontrer.
Graphismes et ambiance sonore
Que ce soit via sa musique épique ou ses sons ambiants uniques, Gears of War a su marquer les esprits.
Les graphismes sont vraiment jolis, même des années après, et retourner sur le jeu reste très agréable à l’œil.
Mon avis sur Gears of War
Voilà plus de dix ans que je n’avais pas joué à Gears of War, et je dois avouer que c’est toujours un plaisir d’y retourner. Il m’avait particulièrement marqué à l’époque et je n’ai pas su lui trouver d’équivalent depuis.
Gears a su innover à l’époque avec des déplacements en jeu uniques. Il reste pour moi une référence dans les TPS.
Si vous n’avez jamais eu l’occasion d’y jouer, c’est une licence que je recommande. Ce premier opus sert surtout à mettre en place le contexte et les personnages. Mais par la suite, nous en découvrirons un peu plus et on s’attache vraiment aux personnages dans les épisodes suivants. Gears of War est un jeu qui peut être aussi brutal que tactique.
La note de la rédaction
Les notes de la rédaction
Les points positifs
Des graphismes jolis même 15 ans après
Un gameplay unique
Les points négatifs
Une histoire qui a du mal à se lancer