Lady Killer – Tome 2 – Les Vices de Miami

Nous revoilà avec notre amie Josie pour découvrir la suite de ses aventures de femmes au foyer/tueuse à gages. On la retrouve la belle dans une nouvelle ville, ce qui veut dire nouvelle vie et nouveau patron ! Voyons de plus près ce tome.

 Nous revoilà avec notre amie Josie pour découvrir la suite de ses aventures de femmes au foyer/tueuse à gages. On la retrouve la belle dans une nouvelle ville, ce qui veut dire nouvelle vie et nouveau patron ! Voyons de plus près ce tome.

L’auteur de lady Killer

« Lady Killer » est une série de bandes dessinées co-créée par Joëlle Jones et Jamie S. Rich. Joëlle Jones est une auteure de bandes dessinées et une artiste talentueuse, reconnue pour son travail dans l’industrie du comic book. Voici quelques informations sur elle :

  1. Carrière : Joëlle Jones est une illustratrice et écrivaine de bandes dessinées dont la carrière a été marquée par une grande variété de projets. Elle a travaillé pour des éditeurs majeurs tels que DC Comics, Marvel Comics, Dark Horse Comics et Image Comics.
  2. Travaux notables : Outre « Lady Killer », Joëlle Jones est également connue pour ses contributions à des séries populaires telles que « Catwoman », « Batman », « Supergirl : Being Super », « Mockingbird » et « Helheim », parmi beaucoup d’autres. Elle a également travaillé sur des couvertures de comics et des projets indépendants.
  3. Style artistique : Joëlle Jones est appréciée pour son style artistique distinctif, caractérisé par des lignes épurées, des compositions dynamiques et une attention aux détails. Son travail combine souvent des éléments de l’esthétique rétro avec une sensibilité moderne, créant des œuvres visuellement frappantes et uniques.
  4. Récompenses et reconnaissances : Joëlle Jones a été nominée et a remporté plusieurs prix pour son travail dans l’industrie des bandes dessinées, y compris des nominations aux Eisner Awards, un des plus prestigieux prix de bande dessinée.
  5. Impact et influence : En tant qu’une des rares femmes artistes de bandes dessinées à avoir acquis une reconnaissance importante dans l’industrie, Joëlle Jones est une voix importante et influente. Son travail a inspiré de nombreux artistes et a contribué à élargir la représentation des femmes dans les bandes dessinées.

En résumé, Joëlle Jones est une artiste de bandes dessinées talentueuse et respectée, connue pour son travail sur une variété de séries et de projets. Sa co-création de « Lady Killer » avec Jamie S. Rich a été bien accueillie par les critiques et les lecteurs, ajoutant à sa réputation en tant qu’une des voix les plus importantes de l’industrie des bandes dessinées.

Lady Killer : le tome 2

On redécouvre notre Josie Schuller qui a décidé de devenir son propre patron. Lors de la première histoire, on comprend rapidement que Josie a un petit problème de nettoyage de scène de crime. Oui, cela n’est pas son point fort. Une rencontre va tout changer pour elle, mais est-ce vraiment une bonne idée ? Notre Lady killer se pose la question. Cette nouvelle aventure se déroule sous le soleil là où son mari a eu une promotion. On découvre dans ce deuxième volume des histoires totalement trash. Attention le dessin ainsi que le scénario sont le reflet d’un second degré très développé. Il vous faudra chercher le sens caché et décoder les codes de notre dessinatrice. Ici, l’hémoglobine est encore plus présente que dans le précédent tome.

 Nous revoilà avec notre amie Josie pour découvrir la suite de ses aventures de femmes au foyer/tueuse à gages. On la retrouve la belle dans une nouvelle ville, ce qui veut dire nouvelle vie et nouveau patron ! Voyons de plus près ce tome.

On y retrouve le code couleur pour Josie, lorsqu’elle est une mère de famille attentionnée. Les couleurs sont claires et joyeuses. Mais lorsqu’elle se transforme en tueuse, là on retrouve une palette beaucoup plus sombre tournée sur le rouge. J’apprécie beaucoup ce code, on différencie directement le changement de comportement.

 Nous revoilà avec notre amie Josie pour découvrir la suite de ses aventures de femmes au foyer/tueuse à gages. On la retrouve la belle dans une nouvelle ville, ce qui veut dire nouvelle vie et nouveau patron ! Voyons de plus près ce tome.

Lire aussi notre critique de Lady Killer Tome 01

C’est vraiment une série que j’adore. Les années 50 y sont vraiment bien représentées. Le côté humour décalé est vraiment très bien employé. J’apprécie aussi que l’on passe sur les scènes de la vie quotidienne et que l’on se concentre sur la partie centrale de l’histoire. À savoir, le second rôle de notre épouse. On découvre un bref passage de la vie d’avant de Josie. Je suis resté un peu sur ma faim pour cette partie-là. J’aurais aimé en savoir plus, mais je pense que dans le prochain tome, on devrait vraiment découvrir son passé. Enfin, je l’espère.

Lady Killer Tome 2 offre une plongée encore plus profonde dans l’univers sombre et captivant de Josie Schuller, une mère de famille apparemment ordinaire qui mène une double vie en tant qu’assassine professionnelle. Ce deuxième volume continue de mêler habilement le glamour rétro des années 1960 avec une intrigue palpitante et des scènes d’action saisissantes. Les personnages sont plus complexes que jamais, avec des motivations troubles et des dilemmes moraux qui les rendent incroyablement humains malgré leurs activités criminelles. L’art de Joëlle Jones est une fois de plus magnifique, combinant élégance rétro et violence stylisée avec une maîtrise impressionnante. « Lady Killer Tome 2 » est une lecture incontournable pour les fans de la série et pour tous ceux qui apprécient un mélange unique de suspense, d’humour noir et d’esthétique rétro

Pour conclure…

Je trouve que les 5 histoires proposées ici nous ouvrent une autre partie de la vie de notre charmante famille. Lady Killer reste pour moi une vraie révélation du Comics. Le style des années 50 est exploité avec brio. Le dessin est toujours de qualité et le scénario nous emporte dans des délires sombres et inquiétants. On entre complètement dans l’esprit de notre mère de famille. Une série à suivre de près. Merci Glénat pour cette découverte.

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